L’intégrité de la Terre-Mère

Déclaration Universelle de la Terre Pour l’Éveil de la Conscience Planétaire et la Reconnaissance du Vivant Préambule Nous, peuples de la Terre, consciences humaines et non humaines, visibles et invisibles, incarnées et subtiles, réunis dans l'intention sacrée de restaurer l’harmonie entre l’espèce humaine et le Vivant, proclamons la Déclaration Universelle de la Terre. Nous affirmons que la planète Terre, Gaïa, n’est pas un simple support matériel à l’exploitation des ressources, mais un être vivant — une conscience cosmique, un organisme intelligent, porteur d’une mémoire ancienne et d’une vocation évolutive. Cette déclaration est une offrande symbolique, un engagement de l’humanité à sortir de la séparation et de la domination pour entrer dans une ère de coexistence consciente avec tous les règnes : minéral, végétal, animal, humain, élémental et spirituel. Article 1 – La Terre est un être vivant La Terre n’est pas un objet inerte. Elle est vivante, sensible, vibrante, dotée d’un champ énergétique complexe et d’une mémoire multidimensionnelle. Elle respire, elle ressent, elle réagit. Elle est notre première Mère. Elle est notre corps élargi. Elle est l’incarnation d’un grand esprit cosmique. Reconnaître la Terre comme un être vivant implique un changement radical de paradigme, intégrant la dimension sacrée du monde naturel dans toutes les sphères de la vie humaine : politique, économique, éducative, religieuse, artistique et scientifique. Article 2 – Le Vivant a des droits Chaque forme de vie, quelle que soit sa nature ou sa complexité, possède une valeur propre et un droit à exister, à évoluer et à s’épanouir. La forêt a le droit d’être forêt. La rivière a le droit de couler librement. L’animal a le droit de vivre sans souffrance ni exploitation. L’humain a le devoir de protéger, pas de dominer. Ces droits ne dépendent pas de leur utilité pour l’humanité, mais de leur simple existence en tant que manifestations uniques de l’intelligence du Vivant. Article 3 – L’être humain est gardien, non maître L’humanité n’est pas propriétaire de la Terre. Elle en est gardienne. Ce rôle est relationnel, non hiérarchique ni possessif : c’est une alliance, un pacte de coévolution. Être gardien, c’est écouter. Être gardien, c’est apprendre à servir le vivant. Être gardien, c’est guérir ce que nous avons blessé. La conscience humaine donne à l’humain une responsabilité : celle de prendre soin, de réparer, et de transmettre. Article 4 – L’Alliance des règnes Il existe une alliance originelle entre les différents règnes de la création. Cette alliance est : Symbiotique Spirituelle Énergétique Les arbres purifient l’air que nous respirons. Les pierres gardent les mémoires de la Terre. Les animaux nous enseignent la sagesse du corps. Les éléments régulent le climat intérieur et extérieur. Reprendre contact avec cette alliance, c’est retisser le lien avec les ancêtres du vivant — ceux qui étaient là avant nous, et ceux qui viendront après nous. Article 5 – Le temps du Réveil Nous proclamons l’entrée dans le temps du Réveil, celui où chaque être humain est invité à sortir de l’oubli et de l’illusion de séparation, pour redevenir un acteur conscient de l’évolution planétaire. Le réveil n’est pas une idéologie. C’est une mémoire retrouvée. Il commence par : L’écoute du silence La présence à l’instant La reconnaissance du sacré dans le quotidien Il s’incarne dans : Des choix justes Des actes simples Des pensées alignées avec le cœur Le temps du réveil est un appel universel lancé à toutes les cultures, traditions, peuples autochtones, scientifiques éclairés, artistes de l’âme et bâtisseurs du futur.

Les droits de la terre

Déclaration Universelle de la Terre Pour l’Éveil de la Conscience Planétaire et la Reconnaissance du Vivant Préambule Nous, peuples de la Terre, consciences humaines et non humaines, visibles et invisibles, incarnées et subtiles, réunis dans l'intention sacrée de restaurer l’harmonie entre l’espèce humaine et le Vivant, proclamons la Déclaration Universelle de la Terre. Nous affirmons que la planète Terre, Gaïa, n’est pas un simple support matériel à l’exploitation des ressources, mais un être vivant — une conscience cosmique, un organisme intelligent, porteur d’une mémoire ancienne et d’une vocation évolutive. Cette déclaration est une offrande symbolique, un engagement de l’humanité à sortir de la séparation et de la domination pour entrer dans une ère de coexistence consciente avec tous les règnes : minéral, végétal, animal, humain, élémental et spirituel. Article 1 – La Terre est un être vivant La Terre n’est pas un objet inerte. Elle est vivante, sensible, vibrante, dotée d’un champ énergétique complexe et d’une mémoire multidimensionnelle. Elle respire, elle ressent, elle réagit. Elle est notre première Mère. Elle est notre corps élargi. Elle est l’incarnation d’un grand esprit cosmique. Reconnaître la Terre comme un être vivant implique d’adopter un changement radical de paradigme, en intégrant la dimension sacrée du monde naturel dans toutes les sphères de la vie humaine : politique, économique, éducative, religieuse, artistique et scientifique. Article 2 – Le Vivant a des droits Chaque forme de vie, quelle que soit sa nature ou sa complexité, possède une valeur propre et un droit à exister, à évoluer et à s’épanouir. La forêt a le droit d’être forêt. La rivière a le droit de couler librement. L’animal a le droit de vivre sans souffrance ni exploitation. L’humain a le devoir de protéger, pas de dominer. Ces droits ne dépendent pas de l’utilité de ces êtres pour l’humanité, mais de leur existence en tant que manifestations uniques de l’intelligence du Vivant. Article 3 – L’être humain est gardien, non maître L’humanité n’est pas propriétaire de la Terre. Elle en est gardienne. Ce rôle n’est ni hiérarchique, ni possessif, mais relationnel : une alliance, un pacte de coévolution. Être gardien, c’est écouter. Être gardien, c’est apprendre à servir le vivant. Être gardien, c’est guérir ce que nous avons blessé. L’être humain n’est pas supérieur aux autres formes de vie. Sa conscience lui confère une responsabilité : celle de prendre soin, de réparer, et de transmettre. Article 4 – L’Alliance des règnes Il existe une alliance originelle entre les différents règnes de la création. Cette alliance est symbiotique, spirituelle et énergétique. Les arbres purifient l’air que nous respirons. Les pierres gardent les mémoires de la Terre. Les animaux nous enseignent la sagesse du corps. Les éléments régulent le climat intérieur et extérieur. Reprendre contact avec cette alliance, c’est retisser le lien avec les ancêtres du vivant, ceux qui étaient là avant nous, et ceux qui viendront après nous. Article 5 – Le temps du Réveil Nous proclamons l’entrée dans le temps du Réveil, celui où chaque être humain est invité à sortir de l’oubli, de l’illusion de séparation, pour redevenir un acteur conscient de l’évolution planétaire. Le réveil n’est pas une idéologie. C’est une mémoire retrouvée. Il commence par l’écoute du silence, la présence à l’instant, et la reconnaissance du sacré dans le quotidien. Il s’incarne dans des choix justes, des actes simples, des pensées alignées avec le cœur. Le temps du réveil est un appel universel lancé à toutes les cultures, traditions, peuples autochtones, scientifiques éclairés, artistes de l’âme, et bâtisseurs du futur.