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- Année 2025….À travers l’histoire, les conflits guerriers ont souvent été l’expression brutale d’un appétit insatiable de pouvoir, nourri par l’ambition aveugle de certains dirigeants. Ces figures, prisonnières de leur ego et de leur soif de domination, imposent des diktats qui se veulent absolus, souvent au nom de la sécurité, de l’ordre ou d’un idéal creux. Cette violence structurelle devient alors un exutoire collectif : une catharsis imposée aux peuples, où la souffrance des masses sert à purger les fantasmes de grandeur d’une élite vieillissante.
- Mais ces élans destructeurs ne sont pas éternels. Ils semblent suivre un cycle biologique, presque rituel, délimité par l’âge de ceux qui les orchestrent. Car souvent, ce sont des générations anciennes, attachées à des visions périmées du monde, qui tentent de graver leur pouvoir dans la pierre avant de disparaître. Le diktat devient alors un chant du cygne, une tentative désespérée de laisser une empreinte dans l’histoire. Pourtant, la jeunesse, souvent plus lucide et connectée aux urgences de son époque, rejette ces récits de gloire sanglante.
- Ainsi, à chaque guerre imposée par une main ridée, surgit en contrepoint un refus : celui d’une génération qui aspire à un autre langage — non pas celui des armes, mais celui de la vie, de la terre, et d’une sagesse collective encore en gestation.
